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la girouette
20 avril 2004

Heaven* (is inside you)

J'ai pensé à toi aujourd'hui. Ca ne change pas de d'habitude, Mais c'était différent, parce que pour une fois depuis longtemps c'était avec tendresse.
Une somme de toi, un tout de qualités et de défauts. Une somme attendrissante. Celle que je voyais avant tout ce bordel.

C'est fou ce que je t'aime.
La nervosité qui émane de tes geste contôlés, leur efficacité. L'odeur de ta peau. Ton oreiller l'a longtemps gardée: tu sues quand tu dors.
J'ai horreur de l'odeur de la sueur. La tienne est déroutante: ni acide, ni répulsive. Discrète, musquée, familière et addicitive, pour moi seule encore... je crois. Je l'espère.
Tes idées. Tes goûts. Tes doutes. Tes mimiques. Tes tics langagiers. La saveur amère de la nicotine sur tes lèvres à baisers.
La nuit quand tu dormais j'embrassais ton dos. Ca faisait une fine pellicule graisseuse sur mes lèvres. Puis je fourrais mes genoux au creux des tiens et mon nez dans ta nuque. Le savais-tu?

Tu disais: "Tu m'idéalises", mais tu disais ensuite: "Personne ne me connais aussi bien que toi."

C'est fou comme je t'aime. Mais qu'est-ce que ça veut dire au fond? C'est un soulagement de l'admettre aujourd'hui... mais demain?

J'ai souvent remarqué que la plage 5 d'un CD est un morceau incontournable. *I Monster, nerveroddoreven.
Je suis sure qu'on aurait rigolé sur Stobart's blues: à la stuppalacci.

Tu me manques. Pour les trois milliards de raison que tu n'entendras jamais. Les mêmes que tu n'as jamais su entendre.

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