15 novembre 2005
Voir Atala au tombeau et pleurer
Chaque fois c'est pareil. Je souris au cadre imposant et familier qui s'offre à moi au détour d'une salle, je m'assieds doucement sur le banc, sans le quitter des yeux, et soudain je suis démunie. Une émotion qui m'irradie de l'intérieur. Trois pauvres...